Cas cliniques : diagnostics tardifs ou à retardement

Intention pédagogique : Si nous rêvons tous d’offrir à nos patients un diagnostic précoce, qui prédispose à une prise en charge plus efficace, il faut bien reconnaître qu’il existe à l’inverse des diagnostics retardés, des errances diagnostiques, voire des diagnostics a posteriori qui nous laissent parfois un goût amer. L’analyse de ces observations n’en est pas moins instructive, pour comprendre les causes de ces retards et améliorer nos pratiques. C’est ce que nous espérons faire autour des observations sélectionnées pour cette séance, et que nous discuterons avec vous à l’aide du système Powervote®. 14h00 Une nécrose d’orteil suspecte. Patricia Senet (Paris) 14h20 Une grossesse révélatrice. Patrick Carpentier (Grenoble) 14h40 Le casse-tête de la thrombose. Gilles Pernod (Grenoble) 15h00 Un lymphœdème trop mou. Stéphane Vignes (Paris) 15h20 Conclusion – Évaluation